Conférence : la campagne de Syrie en 1799
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Conférence : la campagne de Syrie en 1799
La Campagne de Syrie 1799.
Conférence Publique organisée par Délégation de Belgique du Souvenir napoléonien le samedi 23 février 2019 de 10:30 à 13:00 .
La conférence est organisée en partenariat avec la Société Royale des Amis du Musée Royal de l’Armée, et aura lieu au Musée de l’Armée, Parc du Cinquantenaire à Bruxelles (Salle Armes et Armures ,accès par l’ entrée principale)et sera suivie d’une dédicace de l’ouvrage ainsi que d’un pot offert par la SRAMA.
Monsieur Fabrice Delaître est colonel retraité de l’armée française, spécialiste en histoire militaire, historien ,auteur, ainsi que administrateur du Souvenir napoléonien.
Ayant conquis l’Égypte, Bonaparte doit se lancer dans une nouvelle campagne pour prévenir l’arrivée imminente d’une armée ottomane en provenance de Syrie. A l’issue d’une longue marche à travers le désert et de plusieurs sièges en règle, affaiblie par la peste, les fatigues et les privations, son armée vient camper sous les murs de Saint-Jean-d’Acre tenue par les Turcs du pacha Achmed-el-Djezzar et leurs alliés anglais. Pendant 62 jours, les belligérants se disputent le contrôle de la ville avec un incroyable acharnement. Les Français doivent faire face à de nombreuses sorties et des bombardements incessants de la part de la garnison assiégée et tentent de leur côté plusieurs assauts désespérés contre des fortifications inexpugnables. Lorsque deux armées de renfort ennemies approchent pour briser l’encerclement de la ville, Bonaparte ne peut envoyer qu’une seule division à leur rencontre. Dans un combat inégal, les Français parviennent pourtant à mettre l’adversaire en déroute lors de la bataille du Mont-Thabor. Mais les échos d’une Égypte en pleine insurrection, l’absence d’artillerie lourde, et les pertes humaines qui s’accumulent, forcent Bonaparte à lever le siège de Saint-Jean-d’Acre, le 20 mai 1799 et à regagner les rives du Nil. À l’appui du Journal du siège et de nombreux documents d’archives, cet ouvrage retrace jour par jour l’histoire méconnue de ce douloureux échec de Bonaparte.
Information importante !
L’activité est libre d’accès à condition de s’inscrire avant le 15 février auprès du sécrétariat de la SRAMA à l’adresse suivante srt.sramakvvl@gmail.com ou par téléphone 02/737 78 .
Il est impératif de se présenter à l’accueil.
Conférence Publique organisée par Délégation de Belgique du Souvenir napoléonien le samedi 23 février 2019 de 10:30 à 13:00 .
La conférence est organisée en partenariat avec la Société Royale des Amis du Musée Royal de l’Armée, et aura lieu au Musée de l’Armée, Parc du Cinquantenaire à Bruxelles (Salle Armes et Armures ,accès par l’ entrée principale)et sera suivie d’une dédicace de l’ouvrage ainsi que d’un pot offert par la SRAMA.
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Ayant conquis l’Égypte, Bonaparte doit se lancer dans une nouvelle campagne pour prévenir l’arrivée imminente d’une armée ottomane en provenance de Syrie. A l’issue d’une longue marche à travers le désert et de plusieurs sièges en règle, affaiblie par la peste, les fatigues et les privations, son armée vient camper sous les murs de Saint-Jean-d’Acre tenue par les Turcs du pacha Achmed-el-Djezzar et leurs alliés anglais. Pendant 62 jours, les belligérants se disputent le contrôle de la ville avec un incroyable acharnement. Les Français doivent faire face à de nombreuses sorties et des bombardements incessants de la part de la garnison assiégée et tentent de leur côté plusieurs assauts désespérés contre des fortifications inexpugnables. Lorsque deux armées de renfort ennemies approchent pour briser l’encerclement de la ville, Bonaparte ne peut envoyer qu’une seule division à leur rencontre. Dans un combat inégal, les Français parviennent pourtant à mettre l’adversaire en déroute lors de la bataille du Mont-Thabor. Mais les échos d’une Égypte en pleine insurrection, l’absence d’artillerie lourde, et les pertes humaines qui s’accumulent, forcent Bonaparte à lever le siège de Saint-Jean-d’Acre, le 20 mai 1799 et à regagner les rives du Nil. À l’appui du Journal du siège et de nombreux documents d’archives, cet ouvrage retrace jour par jour l’histoire méconnue de ce douloureux échec de Bonaparte.
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« L'usage nous condamne à bien des folies ; la plus grande est celle de s'en faire l'esclave. »
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Re: Conférence : la campagne de Syrie en 1799
Sujet très intéressant.
...et comme toujours, je Vous remercie pour l'information.
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Re: Conférence : la campagne de Syrie en 1799
Loin de moi la volonté de minimiser le début de la campagne de Syrie, mais avant Acre, je ne vois que deux sièges : El-Arish et Jaffa.
" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)
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Re: Conférence : la campagne de Syrie en 1799
Je n'ai fait que reprendre textuellement les commentaires relatifs à la présentation de cette conférence tels qu'ils ont été rédigés par les organisateurs.Cyril Drouet a écrit : ↑15 janv. 2019, 17:29Loin de moi la volonté de minimiser le début de la campagne de Syrie, mais avant Acre, je ne vois que deux sièges : El-Arish et Jaffa.
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Re: Conférence : la campagne de Syrie en 1799
Ils ont repris ce texte sur le site de l'éditeur. Peut-être la 4e de couverture ?Joker a écrit : ↑15 janv. 2019, 19:41Je n'ai fait que reprendre textuellement les commentaires relatifs à la présentation de cette conférence tels qu'ils ont été rédigés par les organisateurs.Cyril Drouet a écrit : ↑15 janv. 2019, 17:29Loin de moi la volonté de minimiser le début de la campagne de Syrie, mais avant Acre, je ne vois que deux sièges : El-Arish et Jaffa.
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Re: Conférence : la campagne de Syrie en 1799
Cyril Drouet a écrit : ↑16 janv. 2019, 10:14Ils ont repris ce texte sur le site de l'éditeur. Peut-être la 4e de couverture ?
Effectivement, ils ont repris in extenso la 4e couverture de l'ouvrage Saint-Jean-d'Acre & le Mont-Thabor : 20 mars - 20 mai 1799, paru en 2010 chez Hictoric'One, que voici :
Ayant conquis l'Egypte, Bonaparte doit se lancer dans une nouvelle campagne pour prévenir l'arrivée imminente d'une armée ottomane en provenance de Syrie. A l'issue d'une longue marche à travers le désert et de plusieurs sièges en règle, affaiblie par la peste, les fatigues et les privations, son armée vient camper sous les murs de Saint-Jean-d'Acre tenue par les Turcs du pacha Achmed-el-Djezzar et leurs alliés anglais. Pendant 62 jours, les belligérants se disputent le contrôle de la ville avec un incroyable acharnement. Les Français doivent faire face à de nombreuses sorties et des bombardements incessants de la part de la garnison assiégée et tentent de leur côté plusieurs assauts désespérés contre des fortifications inexpugnables. Lorsque deux armées de renfort ennemies approchent pour briser l'encerclement de la ville, Bonaparte ne peut envoyer qu'une seule division à leur rencontre. Dans un combat inégal, les Français parviennent pourtant à mettre l'adversaire en déroute lors de la bataille du Mont-Thabor. Mais les échos d'une Egypte en pleine insurrection, l'absence d'artillerie lourde, et les pertes humaines qui s'accumulent, forcent Bonaparte à lever le siège de Saint-Jean-d'Acre, le 20 mai 1799 et à regagner les rives du Nil. A l'appui du Journal du siège et de nombreux documents d'archives, cet ouvrage retrace jour par jour l'histoire méconnue de ce douloureux échec de Bonaparte.
Depuis le livre consacré à son ancêtre, le général Charles Delaître, Fabrice Delaître a publié plusieurs ouvrages dont le dernier est un controversé La bataille des champs Catalauniques, 1er - 2 septembre 451 où il présente son avis sur la localisation de la bataille.
Ayant conquis l'Egypte, Bonaparte doit se lancer dans une nouvelle campagne pour prévenir l'arrivée imminente d'une armée ottomane en provenance de Syrie. A l'issue d'une longue marche à travers le désert et de plusieurs sièges en règle, affaiblie par la peste, les fatigues et les privations, son armée vient camper sous les murs de Saint-Jean-d'Acre tenue par les Turcs du pacha Achmed-el-Djezzar et leurs alliés anglais. Pendant 62 jours, les belligérants se disputent le contrôle de la ville avec un incroyable acharnement. Les Français doivent faire face à de nombreuses sorties et des bombardements incessants de la part de la garnison assiégée et tentent de leur côté plusieurs assauts désespérés contre des fortifications inexpugnables. Lorsque deux armées de renfort ennemies approchent pour briser l'encerclement de la ville, Bonaparte ne peut envoyer qu'une seule division à leur rencontre. Dans un combat inégal, les Français parviennent pourtant à mettre l'adversaire en déroute lors de la bataille du Mont-Thabor. Mais les échos d'une Egypte en pleine insurrection, l'absence d'artillerie lourde, et les pertes humaines qui s'accumulent, forcent Bonaparte à lever le siège de Saint-Jean-d'Acre, le 20 mai 1799 et à regagner les rives du Nil. A l'appui du Journal du siège et de nombreux documents d'archives, cet ouvrage retrace jour par jour l'histoire méconnue de ce douloureux échec de Bonaparte.
Depuis le livre consacré à son ancêtre, le général Charles Delaître, Fabrice Delaître a publié plusieurs ouvrages dont le dernier est un controversé La bataille des champs Catalauniques, 1er - 2 septembre 451 où il présente son avis sur la localisation de la bataille.
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