Décidemment, vous ne trouvez quasiment rien de bon chez Napoléon.... vous préférez la période révolutionnaireWilliam Turner a écrit : ↑13 janv. 2018, 12:03Dans ce cas, la réponse est clairement NON, puisque, comme je viens de l'expliquer, le Code civil est sur la question du divorce en retrait par rapport à la législation révolutionnaire.barthelemy a écrit : ↑13 janv. 2018, 11:54Je n'ai fait que rebondir sur ce point en citant le divorce contenu dans le Code Napoléonien, posant la question de savoir si vous le considériez comme une avancée
il fallait bien évidemment le comprendre comme une avancée par rapport à ce qui se pratiquait AVANT la Révolution de 1789 !

En réalité, si vous me relisez, c'était plus une réflexion qu'une question de ma partWilliam Turner a écrit : ↑13 janv. 2018, 12:03
Et il ne faut pas avoir un esprit tortueux pour comprendre autre chose que ce qu'a voulu dire l'auteur d'une question si sa question est mal formulée.

Chacun comprend ce qu'il veut bien comprendre....

Sans doute aurais-je dû abonder dans votre sens en précisant que le Code Napoléonien régressait par rapport à la loi de 1792
Sauf... sauf que l'enjeu n'était pas là : l'enjeu était de citer une des "masses de granit" , à savoir le Code Civil... en pointant l'un des points "positifs" qu'il contient, c'est à dire le divorce (même restreint)
et d'ailleurs, je citais à l'appui de ma pensée la Restauration de 1816, abolissant le divorce (sous toutes ses formes) : ainsi donc, la boucle était bouclée, la "parenthèse" révolutionnaire et impériale refermée
et avant cette parenthèse, il y avait la France de l'Ancien Régime, laquelle bien évidemment ignorait le divorce
il ne fallait pas chercher autre chose dans mes propos.... à moins d'avoir un esprit un peu alambiqué
