merci tripe A
les escrocs mais les écrivains vont se nourrir de tous ces lendemains de troubles révolutionnaires pour prétendre connaître des caches de trésors immenses , on pense au Comte de Monte Cristo biensûr mais aussi à mon auteur préféré ;
La Varende avec cette nouvelle sur la réalité de ceux qui n'ont rien appris , rien oublié ...
" Le Bois-du-Bosc ? Il est là, devant nous, souverain déchu de ce domaine, au milieu de fossés où vient s'abreuver le bétail. Ces fossés étaient autrefois des douves. Après la Révolution, la douairière de Galart exigea de son fils qu'il fît curer ces douves qui empestaient. Mais qui le ferait ? Il n'osait l'ordonner à personne. Alors, pour l'y forcer, la douairière s'empara de toute son argenterie (elle ne possédait rien d'autre) et la jeta dans les fossés !
- Maintenant, lui dit-elle, vous serez bien obligé de curer ! "
Avec de pareilles légendes , vous faites rêver tous les naïfs ... et ça marche
Aujourd'hui par internet , il n'est pas rare de recevoir ce genre de proposition , souvent même avec le nom de personnes de connaissance