Bonjour Eric :

Ces questions des sciences économiques sous l'empire sont très difficile en tout de ses éléments. La difficulté primaire est qu'il n'y avait aucun concept de la "macro-économie" comme département scolaire : ainsi les données n'ont pas été rassemblées d'une manière dont nous permettrait d'utiliser les outils scolaires qui sont généralement utilisés a nos jours. Les meilleures études sont ainsi très locales, couvrant une certaine ville ou région
basée sur l'interprétation des archives locales.
En général, l'économie de l'empire était 90% ou plus agraire. Ainsi la quantité de fabrication était tout à fait petite, particulièrement en dehors de des industries concernant la production militaire et navale.
Les requiremnts militaires ont eu exactement l'effet sur le développement industriel que vous pourriez prévoir : plus grands volumes de fabrication des armes, des uniformes, etc... L'économie d'échelle et les méthodes croissantes se sont adaptées à la production de volume. Utilisation croissante des machines. C'est exactement pareil, dans ces domaines techniques, comme en Angleterre ou aux Etats-Unis.
La différence principale, celle que la France empêchée de commencer une vraie "révolution
industrielle" est concernée le manque de développement du financement et de la formation de capital privés. La technologie pour commencer "une révolution industrielle" a existé, mais il y avait une absence de crédit ou de bourses des valeurs mobilières privés et des petites dénominations. Les transactions de dette et de capitaux propres se sont produites par arrangement individuel, dans de grandes dénominations, parmi relativement peu de participants, typiquement par arrangement idiocyncratique.
Le manque d'intermédiation sur les bourses des valeurs mobilières de dette et d'equity était un résultat direct de la politique de l'Empire de garder l'utilisation de gouvernement du crédit à un minimum. Manquant des techniques modernes de communication, il aurait été trop cher
d'organiser un marché liquide et petite pour la dette personnelle et des issues de capitaux sans une bonne majeure partie de dette de gouvernement pour augmenter les volumes commercés.
Il était, naturellement, impossible, pour les capitaines des finances de l'Empire pour voir ces effets, puisque - comme a été noté ci-dessus - ce genre d'analyse économique n'a pas existé dans cette époque.
Cher Eric - how good is your English ? I can go into some real detail on this topic, but it is very hard for me to do so in French. Desolé pour ma imbicilité.
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En outre ....
Une maison napoleonienne , environs de EPINAY-SUR-ORGE
Merlin, Eugène-François-Antoine
Born: 27th December 1778, Arleux (Nord)
1798 - 1800+ : aide de camp après de Bonaparte
Chevalier of the Empire: 20th July 1808.
Colonel 1st Hussars: 1st September 1810
General de Brigade: 14th July 1813
Colonel-en-Second: 15 December 1813 4e Regiment de Gardes d’Honneur
Colonel-Major: 25 May 1815 2e Regiment de Chasseurs a Cheval de la Garde Imperiale (formed 15 mai from the Regiment d’Eclaireurs Lanciers) - camgne chez g'al Rapp
Purchased the siegneurie de Sillery at Epinay-sur-Orge : ~ 1825
Lieutenant-général :1830
Commandant de la 9ème division militaire Montpellier : ~1830
Elected Chambre des députés : 1834-1839
Sold la maison Sillery Epinay-sur-Orge : 20 juillet 1838
Pair de France :1839 et comte a la mort de son pere (1838)
Died: 31st August 1854, Paris et inhumée à Eaubonne (Seine&Oise)
Légion d'Honneur : Cote L1839065 - grand officier de la Légion d'Honneur
EPINAY-SUR-ORGE : CENTRE DE RÉADAPTATION PROFESSIONNELL DE SILLERY
NOBLET premier et dernier seigneur de Sillery (située à 17 km au sud de Paris, au nord du département de l'Essonne) le conserva jusqu'en 1804. Il vendit à VEYRET; celui-ci, en 1810, à l'intendant militaire LE BEGUE ; neuf ans plus tard, Sillery devint la propriété de M. VACELIN DUTERTRE de MAISON-NEUVE. Il vendit, en 1824 à une société qui devait y établir une blanchisserie modèle; le projet échoua, et le Lieutenant-Général Comte MERLIN, fils de MERLIN DOUAI, en devint acquéreur. Il ne la conserva pas jusqu'à sa mort, arrivée en 1854. Sa vieillesse fut affligée par la.perte de la vue. Il avait épousé Melle GOHIER, fille unique du Membre du Directoire, et n'en eu pas d'enfants. Cette dame descendait par sa mère du Ministre protestant P. DUMOULIN. Mme la Comtesse MERLIN a fait ses preuves en littérature. On a d'elle des « Mémoires ». C'était aussi une grande Musicienne. Les paisibles ombrages de Sillery ont connu ses douces rêveries. Un volume ayant pour titre : « Les belles Femmes de Paris », (1829-in 8°) parle ainsi de cette dame (p 174) : Beauté, musique, esprit, Mme la Comtesse MERLIN porte sur son front trois couronnes dont une seule suffirait à consacrer pour toujours une tête de femme. Elle est morte à Paris le 15 février 1853, à l'âge de 65 ans et a été inhumée à Eaubonne (Seine&Oise) près de son mari. Ils avaient vendu Sillery, le 20 juillet 1838, au Vicomte de SEGUR dont le nom a été donné à une des rues du village d'Epinay.
Bien amicalement,
-Jonathan