"Vous êtes quand même un drôle de bonhomme"
Je vous laisse l'entière responsabilité de vos propos...

C'est pourquoi je vous laisse sans la moindre hésitation ce rôle dans lequel vous excellez.Joker a écrit :Je vous ai déjà dit que vous ne faisiez pas un Calimero crédible. :diablotin:
Je ne savais pas que vous aimiez à ce point la langue de bois. "Taquiner l'ego" et "vexer", avouez que la nuance est bien mince. Et balancer la paranoïa pour conclure ne serait pas "téméraire et vexatoire" ? Allons, bon, à qui comptez-vous faire croire que vous ne savez pas ce que vous faites ?Joker a écrit : Le terme "lubie" n'avait pour autre objet que de taquiner un brin votre ego.![]()
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Je ne cherchais nullement à vous vexer mais à mettre en exergue l'originalité de votre comportement.
La paranoïa vous guetterait-elle à ce point ? :fou:
Parler de paranoïa est en revanche tout à fait adapté pour apaiser le débat. Est-ce donc cela le secret du compromis à la belge ?Joker a écrit :Ce que vous semblez ne pas comprendre, c'est que qualifier le comportement de votre contradicteur de "ridicule" ne peut que contribuer à pourrir la discussion.
Encore une fois, vous répondez sans réfléchir. La communication non-violente est une technique bien spécifique élaborée par Stuart Rosenberg. Elle obéit à des règles assez précises et cela demande quelques efforts pour la mettre en application. Si une personne n'applique pas ces règles, on ne peut conclure qu'elle communique violemment.Joker a écrit :La lecture de votre commentaire laisse supposer que les autres fois vous n'aviez pas mis ce principe en application.
Je répondais à votre affirmation selon laquelle vous n'aviez pas compris les raisons du bannissement de Bernard Coppens. Comme je les ai comprises, j'en conclus donc que vous les avez comprises vous aussi, mais que par prudence, vous préférez vous abstenir d'en parler. Ce sujet est en effet tabou et entraîne régulièrement l'intervention des modérateurs.Joker a écrit :Que du contraire ! Sans doute est-ce parce que je l'ai beaucoup mieux compris que vous que je n'en ai jamais été banni... :cobra:Faut-il en conclure que vous n'avez jamais compris comment fonctionnaient ce forum et certains de ses membres ?
Vous ne pouviez me faire un plus grand plaisir !C'est pourquoi je vous laisse sans la moindre hésitation ce rôle dans lequel vous excellez.
L'une des caractéristiques de la langue française est justement d'être pleine de nuances."Taquiner l'ego" et "vexer", avouez que la nuance est bien mince.
Je constate que mon propos a fait mouche.Et balancer la paranoïa pour conclure ne serait pas "téméraire et vexatoire" ? Allons, bon, à qui comptez-vous faire croire que vous ne savez pas ce que vous faites ?
Tout comme le sont les expressions "ridicule" et "inculture" que vous employâtes bien légèrement.Parler de paranoïa est en revanche tout à fait adapté pour apaiser le débat.
Est-ce votre manière personnelle d'apaiser le débat que d'affirmer cela de manière aussi péremptoire ?Encore une fois, vous répondez sans réfléchir.
L'abstention est parfois la meilleure tactique à employer pour ne pas envenimer les choses.j'en conclus donc que vous les avez comprises vous aussi, mais que par prudence, vous préférez vous abstenir d'en parler.
Comme l'illustre le poème de Martin Niemöller :Joker a écrit :L'abstention est parfois la meilleure tactique à employer pour ne pas envenimer les choses.
Vous devriez en faire usage plus souvent... :fou:
Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n'ai rien dit,
Je n'étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n'ai rien dit,
Je n'étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n'ai pas protesté,
Je n'étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n'ai pas protesté,
Je n'étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester
Mais sans doute est-ce également le cas pour vous lorsque l'on se permet de qualifier de "lubie" votre passion pour les plans-reliefs.C'est sans doute pour cela que vous vous sentez à ce point blessé quand on vous prend en flagrant délit de vous ridiculiser.