De nos jours on voit parfois qui cuirasses à la vente qu viendraient de foyers de régiments anglais.
A ma connaissance les britanniques n'avaient pas de cuirassiers sous l'empire , et en ont depuis dans les cavaliers de la garde royale,Les Horse Guards, Ils ont peut être copié la méthode ?!La cuirasse est par contre simplement sur la poitrine , comme les cuirassiers autrichiens de l'époque .
J'ai lu qu'ils avaient (" les Anglais") crée des régiments de lanciers après Waterloo, impressionné par leurs efficacité!
2 escadrons de ce régiment se sont battus a Waterloo dans la Household Brigade ! Ils n'ont visiblement pas de cuirasse
Voici un portrait du Corporal Major Thomas Playford avec une cuirasse dont je ne connais pas la date , Il avait "a Waterloo" avisé ses hommes de frapper les cuirassiers français sur l’arrière du cou , étant l'endroit le plus vulnérable !
Les cuirasses françaises rapportées dans des unités anglaises, que j'évoquais plus haut, n'étaient pas destinées à être portées. Il s'agissait de trophées utilisés comme décoration dans les foyers, salles d'Honneur ou autre.
Les cuirasses françaises rapportées dans des unités anglaises, que j'évoquais plus haut, n'étaient pas destinées à être portées. Il s'agissait de trophées utilisés comme décoration dans les foyers, salles d'Honneur ou autre.
Connaissez vous la période ou ils ont commencé à en utiliser comme le Corporal Major Thomas Playford photo plus haut ? N'ont-ils pas étudié "les nôtres" pour en créer un modèle anglais?
comme pour les lanciers ?
Je signale que la nomenclature des unités de cavalerie est différente chez les Britanniques et chez les Français : chez nous, on énumère les régiments par exemple du premier au dernier régiment de dragons, idem pour les régiments de hussards par exemple, chaque subdivision à part. Chez les Anglais, on avait au départ 4 unités de Horse Guards, 2 de Horse Grenadiers, 9 regiments "of Horse" et 8 de Dragoons. En 1751, on les numérote dans la ligne par rang d'ancienneté en trois groupes : 1 à 4ème "Horse", 1er à 3ème "Dragoon Guards" , 1er à 14ème "Dragoons". Les Dragoon Guards ne sont pas des régiments de gardes, mais reçoivent un titre distinguant leur ancienneté qu'ils gardent lorsque George II les transforme en Dragoons pour faire des économies, parce que leur solde et leur équipement étaient plus coûteux que ceux des Dragons....En 1759 on ajoute des Light Dragoons (15ème à 19ème) littéralement Dragons Légers, comme cavalerie légère, puis en 1783 les 7ème à 14ème Dragons deviennent à leur tour Dragons Légers. En 1806, le 10ème Light Dragoons devient le 10ème Hussards, sans qu'il y ait neuf autres régiments de hussards devant lui. En 1807, les 5ème, 15ème et 18ème Light Dragoons deviennent Hussars (Hussards en Français) et d'autres régiments de Dragoons deviennent Lancers (Lanciers) en 1808.Je vous épargne la suite, pour vous dire qu'actuellement les régiments sont numérotés indépendamment de leur titre, ainsi en 1972 vous aviez par suite d'amalgame par exemple le 15èe/19ème Royal Hussars suivis par le 16ème/5ème Queen's Royal Lancers puis le 17ème/21ème Lancers....(je vous ai francisé les terminaisons en ème pour vous éviter de vous escrimer avec les terminaisons 1st, 2nd, 3rd et autres -th). Depuis 1995, vous avez le régiment de cavalerie de la garde regroupant deux formations : Life Guards (rouges) et Royal Horse Guards and 1st Dragoons (bleus, on les appelle d'ailleurs The Blues and Royals) et 9 régiments de cavalerie de ligne, le dernier étant le Royal Tank regiment (RTR) mais chaque régiment est divisé en des sortes de groupements tactiques (des bataillons pour l'infanterie). Les Dragons, Dragoon Guards, Hussards et Lanciers et le RTR se suivent joyeusement dans une seule liste.
En France, on ne doit pas être nombreux à y comprendre quelque chose et à avoir de la documentation (en Anglais évidemment) en sachant l'exploiter. On trouve des rubriques sur Facebook en langue anglaise, mais c'est ardu si on n' a pas déjà une petite idée sur le sujet. Ne prononcez pas le U de GUards, prononcez Ga...dz.
Merci pour ces renseignements certes précieux , mais quid des cuirasses ?
Vous annoncez je vous cite :" d'autres régiments de Dragoons deviennent Lancers (Lanciers) en 1808." Êtes vous certain que les anglais avaient des régiments de lanciers en 1808 ?
Même s'il y a toujours eu des cavaliers combattant armés d'une lance, les lanciers au sens moderne du terme sont originaires de Pologne, au xviiie siècle. Les lanciers polonais prouvèrent leur efficacité au service de la Grande Armée de Napoléon Ier, et à la fin des guerres de la Révolution française et de l'Empire, tous les États européens avaient leurs propres régiments de lanciers.
L'un de leurs plus importants faits d'armes reste la bataille d'Albuera, où les lanciers polonais de la Vistule anéantirent une brigade anglaise.
A Waterloo Jacquinot et ses lanciers, ainsi que la brigade de cuirassiers de Farine, prennent les Scots Greys en écharpe , et parviennent à endiguer la folle cavalcade des Écossais et leur infligent de lourdes pertes. La cavalerie française ramène le restant des Anglais sur la crête du Mont-Saint-Jean.Le colonel Hamilton, commandant le régiment des Scots Greys, est ainsi retrouvé mort sur le champ de bataille avec les deux bras coupés.
Lord Ponsonby, dans sa fuite, est embroché à mort par un dénommé Orban, maréchal des logis au 4e Lanciers. La brigade Ponsonby perd un millier de cavaliers sur les 2600 engagés .Mais ont pris au passage les aigles des 45e et 105e régiments de ligne
Et donc j’ai lu que les anglais avaient crée ces régiments "de lanciers" après Waterloo au vu de leur efficacité ?
Bonsoir,
Je cherche des informations sur les dates et lieux de reconstitution où se produisent des groupes de cavalerie période 1er Empire, je suis passionné par ce thème et j'ai posté récemment sur ma page facebook Equus by JPM dédiée au cheval des...
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pas de nouvelle non plus de cet ex Chamborand ? doit avoir 70 ans à présent ce qui en soit n'est pas un obstacle s'il est resté un peu souple , je chevauche avec des veneurs de plus de 80 balais qui sortent 2 fois par semaine .
Dans le développement des pistolets militaires français le modèle 1777 (dit à coffre) est une exception. Pour la première fois la platine est fondue d’une seule pièce (un coffre de laiton), sur lequel vient se fixer le canon. Techniquement cette une...
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Dernier message par Napoléon 1 21 août 2019, 11:28